L’annonce est tombée dans la fin de la matinée. Dans un premier temps il a été question de n’organiser que quatre soumonces et le Carnaval.
Puis il a été question de se concentrer exclusivement sur les Jours gras. Les dernières réflexions ont quant à elles été consacrées à un Lundi gras et un Mardi gras symboliques dont l’objectif était double : entendre résonner les tambours et les violes dans la Ville et offrir malgré tout une rentrée financière aux louageurs, artisans et à l’horeca
Hélas, les contraintes sanitaires sont apparues être trop contraignantes pour que ces activités symboliques se déroulent sans mettre à mal les traditions tout en respectant les règles imposées par le Codeco.
Rien que l’application du CST générait un nombre de problèmes qui se sont avérés insolubles. Il aurait fallu installer des kilomètres de double barriérages Héras avec conrôle du CST 24 h sur 24.
Quant au port du masque, la distanciation sociale, l’obligation de consommer assis à 6 à table, ils vont tout bonnement à l’encontre de la convivialité du Carnaval de Binche où la proximité de ses pairs et des visiteurs est capitale.
Malheureusement, aucune solution ne semble répondre de manière correcte aux deux obligations que les acteurs du Carnaval s’étaient fixée : le respect des conditions édictées par les Codeco et le respect des traditions du Carnaval.
Ceci n’est pas une décision, souligne le bourgmestre de Binche : « il s’agit d’une annonce. En effet, les mesures du Codeconous dictent ce que nous sommes obligés de faire » selon Laurent Devin. Une réunion est prévue demain avec les autres bourgmestres du Centre pour prendre une décision commune pour les autres carnavals de la région ( entre 60 et 70).
L’annulation des festivités carnavalesques va, comme dit plus haut, générer un manque à gagner pour certains secteurs très impliqués et très importants dans le folklore.
Comme l’année dernière, la Ville de Binche désire venir en aide à ces secteurs et fera une proposition en ce sens lors du prochain Conseil Communal. Natacha Leroy, échevine PME et commerces.
Louageurs de costumes -Sabotiers -Artisan qui confectionne le célèbre masque de cire-Artisans qui confectionnent les paniers à orange, artisans qui confectionnent les ramons-Musiciens et tamboureurs.
Economiquement, certaines sociétés d’acteurs, et principalement celles de jeunes, ont également été impactées économiquement et socialement.
Une fête plus tard dans l’année ?
Oui, mais sans Gilles et on ne sait pas encore dans quel format. Didier Rombaux, président de l’ADF.
L’annonce est tombée dans la fin de la matinée. Dans un premier temps il a été question de n’organiser que quatre soumonces et le Carnaval.
Puis il a été question de se concentrer exclusivement sur les Jours gras. Les dernières réflexions ont quant à elles été consacrées à un Lundi gras et un Mardi gras symboliques dont l’objectif était double : entendre résonner les tambours et les violes dans la Ville et offrir malgré tout une rentrée financière aux louageurs, artisans et à l’horeca
Hélas, les contraintes sanitaires sont apparues être trop contraignantes pour que ces activités symboliques se déroulent sans mettre à mal les traditions tout en respectant les règles imposées par le Codeco.
Rien que l’application du CST générait un nombre de problèmes qui se sont avérés insolubles. Il aurait fallu installer des kilomètres de double barriérages Héras avec conrôle du CST 24 h sur 24.
Quant au port du masque, la distanciation sociale, l’obligation de consommer assis à 6 à table, ils vont tout bonnement à l’encontre de la convivialité du Carnaval de Binche où la proximité de ses pairs et des visiteurs est capitale.
Malheureusement, aucune solution ne semble répondre de manière correcte aux deux obligations que les acteurs du Carnaval s’étaient fixée : le respect des conditions édictées par les Codeco et le respect des traditions du Carnaval.
Ceci n’est pas une décision, souligne le bourgmestre de Binche : « il s’agit d’une annonce. En effet, les mesures du Codeconous dictent ce que nous sommes obligés de faire » selon Laurent Devin. Une réunion est prévue demain avec les autres bourgmestres du Centre pour prendre une décision commune pour les autres carnavals de la région ( entre 60 et 70).
L’annulation des festivités carnavalesques va, comme dit plus haut, générer un manque à gagner pour certains secteurs très impliqués et très importants dans le folklore.
Comme l’année dernière, la Ville de Binche désire venir en aide à ces secteurs et fera une proposition en ce sens lors du prochain Conseil Communal. Natacha Leroy, échevine PME et commerces.
Louageurs de costumes -Sabotiers -Artisan qui confectionne le célèbre masque de cire-Artisans qui confectionnent les paniers à orange, artisans qui confectionnent les ramons-Musiciens et tamboureurs.
Economiquement, certaines sociétés d’acteurs, et principalement celles de jeunes, ont également été impactées économiquement et socialement.
Une fête plus tard dans l’année ?
Oui, mais sans Gilles et on ne sait pas encore dans quel format. Didier Rombaux, président de l’ADF.
